The DIVI future theme ?

Les intoxications au gaz en Iran sont en augmentation depuis début mars, après l’apparition des premiers cas en novembre 2022. Ils concernent principalement des jeunes filles, des collégiens et des lycéens. Les autorités iraniennes sont-elles en train de « se venger » en empoisonnant des jeunes qui ont participé aux manifestations qui animent le pays depuis des mois ?

C’est dans l’esprit de nombreux parents, y compris des  des collégiens et des lycéens.

Des centaines d’attaques au gaz  ont été recensées début mars, dont la nature reste un mystère.  Les symptômes, bien que légers, peuvent être graves : des nausées aux étourdissements, pouvant même conduire à une « paralysie partielle ».

Le chef suprême de la République islamique, Ali Khamenei, a déclaré lundi 6 mars que les attentats constituaient un « crime impardonnable » qui serait « sévèrement poursuivi ». Cependant, notre correspondant spécialisé dans la région a déclaré que les autorités étaient « complaisantes et même complices » car elles pouvaient facilement identifier les auteurs.