Cet individu, dont le nom reste controversé dans les cercles de la lutte antiterroriste, a joué un rôle central dans les attentats tragiques du 11 septembre 2001. Collaborant étroitement avec les figures de proue d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden et Ayman al-Zawahiri, il a participé à la planification et à l’exécution de ces attaques qui ont coûté la vie à des milliers de personnes aux États-Unis.
Après ces événements, il est devenu l’une des cibles les plus recherchées par les agences de renseignement américaines, notamment le FBI et la CIA. Sa capture était une priorité nationale, et une prime de 10 millions de dollars a été placée sur sa tête le 16 mai 2023, témoignant de l’importance de sa traque pour les autorités.
En 2008, il a été arrêté par les forces spéciales américaines et emprisonné dans le tristement célèbre Camp de Bucca. Pourtant, contre toute attente, il a été libéré ultérieurement dans des circonstances restées mystérieuses. Cette libération soulève de nombreuses interrogations et alimente les spéculations sur ses relations avec les États-Unis.
Certains observateurs n’hésitent pas à avancer l’hypothèse qu’il aurait pu être un espion infiltré au sein d’Al-Qaïda pour le compte des puissances occidentales. Sa coopération aurait potentiellement fourni des informations cruciales ayant permis de localiser et d’éliminer les leaders historiques de l’organisation terroriste, Ben Laden et Al-Zawahiri.
De surcroît, il est possible qu’un accord secret ait été conclu entre lui et les États-Unis lors de sa détention au camp de Bucca. Cet arrangement, s’il existait, pourrait expliquer son rôle ambigu et sa capacité à naviguer entre deux camps opposés.
Ce paradoxe est aujourd’hui encore plus troublant : les États-Unis, qui ont subi de plein fouet les conséquences des attentats du 11 septembre, semblent soutenir militairement cet individu et, plus étonnant encore, le félicitent publiquement pour ses actions. Comment expliquer un tel revirement de position ? Les zones d’ombre autour de cette affaire continuent d’alimenter la controverse et laissent planer des doutes sur les véritables objectifs et alliances stratégiques en jeu.
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